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Une centaine de personnes ont été interpellées dans le cadre de cette affaire qui a secoué la localité.
Tout a commencé par l'immobilisation d'une motocyclette dont le conducteur ne possédait pas les papiers en règle. Un groupe de jeunes, mécontents de cette décision, s'est rapidement rassemblé devant la brigade, exigeant la libération de l'engin.
Le lendemain, la situation a dégénéré. Des individus armés de machettes et d'un fusil ont attaqué les locaux, saccageant le mobilier, les équipements et incendiant les bâtiments. Les forces de l'ordre, arrivées en renfort, ont réussi à maîtriser la situation et à interpeller une centaine de personnes impliquées dans ces violences.
Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ces événements et identifier les instigateurs de ces actes de vandalisme. Les personnes arrêtées sont poursuivies pour des faits graves, notamment des atteintes à l'ordre public, la détention illégale d'armes, la destruction de biens publics et des violences envers les forces de l'ordre.
Le procureur de la République a souligné la gravité de ces faits et a rappelé que les auteurs encouraient de lourdes sanctions. Cette affaire met en lumière les tensions qui peuvent surgir dans les relations entre les forces de l'ordre et la population, et souligne l'importance du dialogue pour prévenir de tels incidents.
